Suis-je aidant ?

Bien souvent, on ne se perçoit pas comme aidant : on trouve que ce que l’on fait au quotidien pour soutenir son proche est tout naturel, puisqu’on l’aime. De ce fait, on ne pense pas à chercher une aide extérieure.

Les actes anodins se multiplient sans que l’on y prenne garde pour représenter, au final, une lourde charge physique et mentale qui s’ajoute aux contingences personnelles et peut, insidieusement, affecter sa propre santé.

Pour savoir où vous en êtes dans votre rôle d’aidant, faites le test : vous serez sûrement surpris de votre niveau d’investissement !

01

Avez-vous constaté des changements dans l’exécution de certaines tâches par votre proche ?

Ralentissement dans les tâches, exécution partielle voire ne plus savoir faire.

Non
Oui

02

Devez-vous réaliser certaines activités à la place de votre proche ?

Non
Oui

03

Êtes-vous amené(e) à faire pour votre proche qu’il faisait auparavant seul(e)?

Non
Oui

Si il y a une majorité de "oui" aux questions 1 à 3

Les réponses oui correspondent aux tâches que vous avez prises en charge à la place de votre proche. Vous trouvez cela certainement normal, lié à votre situation de conjoint ou de fils ou fille. Bien que cela soit perçu comme « normal » (vous êtes conjoint, fils, fille…) réaliser ces tâches vous permet de vous reconnaitre comme un aidant d’un proche dépendant.

04

Si oui, pour quel type d’actions ?

Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui

05

Si vous travaillez, avez-vous dû aménager vos horaires de travail ?

Non
Oui

06

Avez-vous été obligé(e) de renoncer :

Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui

07

Quelqu’un d’autre pourrait-il faire ce que vous faites pour votre proche ?

Non
Oui

08

Avez-vous cherché du soutien dans votre famille ? autres proches ?

Non
Oui

Si il y a une majorité de "oui" aux questions 4 à 8

Les réponses « oui » montrent l’impact de votre investissement d’aidant sur votre vie professionnelle ou personnelle. Il est important d’identifier ce qui vous semble indispensable à votre équilibre dans la liste (vacances, loisirs, projets, sorties et à quel rythme) pour essayer de le sauvegarder.

09

Avez-vous dû changer votre comportement pour vous adapter aux difficultés de votre proche ?

Non
Oui

10

Vous sentez-vous fatigué(e) ? 

Non
Oui

11

Dormez-vous bien ?

Non
Oui

12

Vous sentez-vous stressé(e), énervé(e) ?

Non
Oui

13

Vous êtes-vous déjà renseigné(e) sur les aides possibles ?

Non
Oui

14

Auprès de quel professionnel ?

Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui

Si il y a une majorité de "oui" aux questions 9 à 14

Quels sont les relais dont vous pourriez disposer ? En particulier, n’y-a-t-il pas des membres de la famille qui pourraient vous aider sur certaines tâches ? Il peut être intéressant d’organiser un « conseil de famille » pour réfléchir à comment se répartir les actes de la vie quotidienne à prendre en charge. Votre médecin traitant, des professionnels peuvent vous écouter et vous aider à prendre du recul d’une part et faire intervenir des services qui vous relayent dans le quotidien auprès de votre proche.

Si il y a une majorité de "oui" aux questions 12 à 14

Il est important d’identifier les attentes à l’égard des professionnels et de s’adresser à eux selon leurs compétences. Vous trouverez dans le guide ces informations.
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15

Quelles aides attendez-vous des professionnels ? 

Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui

16

Confiez-vous ou confieriez-vous votre proche à des aidants professionnels ?

Non
Oui

15

Si non pourquoi ? 

Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui
Non
Oui

Si il y a une majorité de "oui" aux questions 15 à 17

Il est difficile de confier son proche dépendant à quelqu’un d’autre. Il semble important de réfléchir aux raisons qui vous conduisent à être dans ce positionnement. Par ailleurs des propositions alternatives et progressives existent pour favoriser une transition en douceur.